Les bubbles ont encore une fois bien vieilli d’un an, et sont pleines d’air pour entamer l’année 2011, s’élever, s’envoler, et surtout essayer de ne pas éclater en plein vol.
Ohohoh, bon temps des fêtes !
 La nuit à Montréal, la neige est blanche, le ciel est noir. Le lendemain, au petit matin, c’est tout l’inverse : la neige est comme noire et boueuse, et le ciel est blanc « kleenex ». Et si la vie n’était qu’une question de couleurs, celles qu’on a dans la tête, dans le cœur ou dans le corps, le papier peint de nos murs, les briques de notre cour, l’intérieur de notre chandail, l'horizon de notre paysage. L’indice sème/s’aime depuis quelques mois déjà des minis albums pour donner une tonalité musicale aux couleurs. En mélangeant, collant, découpant et montant plusieurs influences, on arrive à quelque chose de très… noir et blanc !
La nuit à Montréal, la neige est blanche, le ciel est noir. Le lendemain, au petit matin, c’est tout l’inverse : la neige est comme noire et boueuse, et le ciel est blanc « kleenex ». Et si la vie n’était qu’une question de couleurs, celles qu’on a dans la tête, dans le cœur ou dans le corps, le papier peint de nos murs, les briques de notre cour, l’intérieur de notre chandail, l'horizon de notre paysage. L’indice sème/s’aime depuis quelques mois déjà des minis albums pour donner une tonalité musicale aux couleurs. En mélangeant, collant, découpant et montant plusieurs influences, on arrive à quelque chose de très… noir et blanc ! On voit que l’hiver s’en vient : il fait plus froid, les rhumes s’affolent, les bubbles s’endorment un peu. Non pas que les concerts diminuent sur Montréal ou manque d’intérêt, au contraire, mais juste une période excessive de travail (vous savez la job qui paie le loyer, les factures et les 1000 pièces pour la résidence permanente) m'a contrainte à rester collée à mon ordinateur. Donc, quand je sors le bout de mon nez, je suis impatiente, je trépigne pour avoir ma dose musicale suffisante pour me booster jusqu’à la suivante. Samedi soir c’était M pour Montréal au Métropolis…
On voit que l’hiver s’en vient : il fait plus froid, les rhumes s’affolent, les bubbles s’endorment un peu. Non pas que les concerts diminuent sur Montréal ou manque d’intérêt, au contraire, mais juste une période excessive de travail (vous savez la job qui paie le loyer, les factures et les 1000 pièces pour la résidence permanente) m'a contrainte à rester collée à mon ordinateur. Donc, quand je sors le bout de mon nez, je suis impatiente, je trépigne pour avoir ma dose musicale suffisante pour me booster jusqu’à la suivante. Samedi soir c’était M pour Montréal au Métropolis… Hier, c’était la soirée d’ouverture du RIDM. Le quoi ? Le RIDM, un des nombreux festivals des mois en « bre » de Montréal : les Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal. Outre le documentaire d’ouverture (que je n’ai pas vu), il y avait la fameuse petite soirée à la Cinémathèque québécoise. L’occasion de se rendre compte que les grosses lunettes noires et carrées sont encore à la mode, mais pas que ça !
Hier, c’était la soirée d’ouverture du RIDM. Le quoi ? Le RIDM, un des nombreux festivals des mois en « bre » de Montréal : les Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal. Outre le documentaire d’ouverture (que je n’ai pas vu), il y avait la fameuse petite soirée à la Cinémathèque québécoise. L’occasion de se rendre compte que les grosses lunettes noires et carrées sont encore à la mode, mais pas que ça ! Ça y est, il fait froid. Pas froid comme en plein hiver, juste assez froid pour avoir les premiers nez qui coulent. Un petit froid insidieux qui rend plus difficile les sorties nocturnes, qui donne envie de rester sous la couette à regarder des films popcorn. Cela dit, quand brusquement on se souvient qu’on avait acheté ses places pour the Dandy Warhols et que c’est là maintenant, toute suite, on sourit en pensant à la bonne pop psychédélique qui nous attend.
Ça y est, il fait froid. Pas froid comme en plein hiver, juste assez froid pour avoir les premiers nez qui coulent. Un petit froid insidieux qui rend plus difficile les sorties nocturnes, qui donne envie de rester sous la couette à regarder des films popcorn. Cela dit, quand brusquement on se souvient qu’on avait acheté ses places pour the Dandy Warhols et que c’est là maintenant, toute suite, on sourit en pensant à la bonne pop psychédélique qui nous attend. Tapa tadada, tapa tadada, tapa tadada…. Vous entendez le petit son jazzy qui fruite vos oreilles. C’est ce son cuivré, juste la dose de cannelle qui flotte sur le café et en change toute la saveur. Ah j’oubliais, votre café, c’est une double expresso allongé, avec un fond de vieux rhum, du sucre et de la crème. Ça se trouve dans tous les bons coins du Québec et même maintenant en France. On appelle ça le « spécial MV » (dite aime vie). Parce que maintenant, on ne dit plus Misteur Valaire, c’est comme pour les plus grands (regardez JFK), les initiales suffisent !
Tapa tadada, tapa tadada, tapa tadada…. Vous entendez le petit son jazzy qui fruite vos oreilles. C’est ce son cuivré, juste la dose de cannelle qui flotte sur le café et en change toute la saveur. Ah j’oubliais, votre café, c’est une double expresso allongé, avec un fond de vieux rhum, du sucre et de la crème. Ça se trouve dans tous les bons coins du Québec et même maintenant en France. On appelle ça le « spécial MV » (dite aime vie). Parce que maintenant, on ne dit plus Misteur Valaire, c’est comme pour les plus grands (regardez JFK), les initiales suffisent ! Un bien joli mot qui résonne pour des défis créatifs concoctés par Tostaki Design : PRIMITIF ! C’est donc le défi de ce trimestre, qu’une vingtaine d’artistes a décidé de relever : photographie, art visuel, illustration, installation sonore, musique… une belle palette que toutes les possibilités d’inspiration du thème ont su (dé)couvrir.
Un bien joli mot qui résonne pour des défis créatifs concoctés par Tostaki Design : PRIMITIF ! C’est donc le défi de ce trimestre, qu’une vingtaine d’artistes a décidé de relever : photographie, art visuel, illustration, installation sonore, musique… une belle palette que toutes les possibilités d’inspiration du thème ont su (dé)couvrir. Alors oui, pour ceux qui ne le sauraient pas, Gotan Project, comme son nom l’indique, c’est du tango et c’est franco-argentin ! Soirée sensuelle et électro au Métropolis, avec sept musiciens magiques qui offrent une lecture singulière de cette danse envoutante. Je vais peut-être me mettre au tango moi !
Alors oui, pour ceux qui ne le sauraient pas, Gotan Project, comme son nom l’indique, c’est du tango et c’est franco-argentin ! Soirée sensuelle et électro au Métropolis, avec sept musiciens magiques qui offrent une lecture singulière de cette danse envoutante. Je vais peut-être me mettre au tango moi ! Eels, mais si Eels, vous vous souvenez certainement ! Si comme moi vous êtes autour de la décennie des 3, vous aurez en mémoire la fameuse toune « Novocaïne for the Soul » et son clip perché. Quand j’ai vu qu’ils passaient à Montréal, je me suis dit : oh génial, nostalgie de mon adolescence, allons-y. J’y suis allée et j’en suis revenue, comme si je m’étais trompée de porte en entrant…
Eels, mais si Eels, vous vous souvenez certainement ! Si comme moi vous êtes autour de la décennie des 3, vous aurez en mémoire la fameuse toune « Novocaïne for the Soul » et son clip perché. Quand j’ai vu qu’ils passaient à Montréal, je me suis dit : oh génial, nostalgie de mon adolescence, allons-y. J’y suis allée et j’en suis revenue, comme si je m’étais trompée de porte en entrant… Mercredi, c’est bien connu, c’est la journée des enfants ! Alors on a eu droit à des petits jeunes pour en profiter, avec un concert pour deux grands groupes : Beach House et Vampire Weekend, soit peut-être les pires noms de bands de ses dernières années… inversement proportionnel à leur talent heureusement !
Mercredi, c’est bien connu, c’est la journée des enfants ! Alors on a eu droit à des petits jeunes pour en profiter, avec un concert pour deux grands groupes : Beach House et Vampire Weekend, soit peut-être les pires noms de bands de ses dernières années… inversement proportionnel à leur talent heureusement !.jpg) C’est l’histoire de deux gars chevelus, Mark et Evan, qui on commencé à collaborer tranquillement au début des années 2000. Vous savez l’époque où facebook n’existait pas et où les médias sociaux étaient une expression de nerds, enfouie dans des théories futuristes où la dépendance à la technologie était vile. Bref, Mark et Evan ont bien réfléchi et ont trouvé que faire de l’électro-rock et remixer du hip-hop serait un beau métier d’avenir pour commencer le nouveau siècle. Alors, ils ont choisi de s’appeler Ratatat (ceci n’ayant rien avoir avec cela).
C’est l’histoire de deux gars chevelus, Mark et Evan, qui on commencé à collaborer tranquillement au début des années 2000. Vous savez l’époque où facebook n’existait pas et où les médias sociaux étaient une expression de nerds, enfouie dans des théories futuristes où la dépendance à la technologie était vile. Bref, Mark et Evan ont bien réfléchi et ont trouvé que faire de l’électro-rock et remixer du hip-hop serait un beau métier d’avenir pour commencer le nouveau siècle. Alors, ils ont choisi de s’appeler Ratatat (ceci n’ayant rien avoir avec cela). Osheaga, et ces quelques 53 000 festivaliers venus brasser la terre grise du l'île du Parc Jean Drapeau ! Deux jours de pure folie musicale à peu près pour tous les goûts. Mes oreilles ont été mal menées, écartelées en tout sens et tout son et mon cerveau en garde des mélodies imprimées dans un coin de mes neurones qui ressortent encore comme des éclairs de bonheur de temps à autre. Ondes électrochoques, quand le courant passe, c'est du haut voltage qui se brise dans ma tête.
Osheaga, et ces quelques 53 000 festivaliers venus brasser la terre grise du l'île du Parc Jean Drapeau ! Deux jours de pure folie musicale à peu près pour tous les goûts. Mes oreilles ont été mal menées, écartelées en tout sens et tout son et mon cerveau en garde des mélodies imprimées dans un coin de mes neurones qui ressortent encore comme des éclairs de bonheur de temps à autre. Ondes électrochoques, quand le courant passe, c'est du haut voltage qui se brise dans ma tête. Une petite before avant d’embrayer pour deux jours de folie à Osheaga, voilà ce que proposait Mini M (tous les premiers ou derniers (visiblement) jeudis du mois, c’est gratuit et la bière est à 2$, méchant mélange et c’est M pour Montréal qui organise). Me voilà donc pour une fois à peu près à l’heure au Café campus. Programme de cette soirée éclectique, électrique, excentrique et… tactique : Sean Nicholas Savage, Parlovr et Isis.
 Une petite before avant d’embrayer pour deux jours de folie à Osheaga, voilà ce que proposait Mini M (tous les premiers ou derniers (visiblement) jeudis du mois, c’est gratuit et la bière est à 2$, méchant mélange et c’est M pour Montréal qui organise). Me voilà donc pour une fois à peu près à l’heure au Café campus. Programme de cette soirée éclectique, électrique, excentrique et… tactique : Sean Nicholas Savage, Parlovr et Isis.  Ola que calor ! Et oui, Montréal nous enveloppe chaudement et avec humidité de ces jours-ci. Alors ça méritait bien un petit « billes et du meurt », à l’envers !
Ola que calor ! Et oui, Montréal nous enveloppe chaudement et avec humidité de ces jours-ci. Alors ça méritait bien un petit « billes et du meurt », à l’envers ! Avant il y a quelques jours, je ne connaissais rien. Je ne connaissais rien à ce groupe au nom obscur et qui pourtant se chuchotait sur toutes les lèvres autour de moi : Thee Silver Mount Zion, un groupe mythique, voire mystique, de Montréal, il fallait bien que ça se joue à la Fédération Ukrainienne pour clôturer sa tournée. C’est donc sous une chaleur digne d’un des meilleurs saunas en ville que nous nous sommes retrouvés pour écouter, que dis-je, communier et s’élever autour de TSMZO. Un moment unique, une extension du temps, des liquides tièdes et un son extravagant !
Avant il y a quelques jours, je ne connaissais rien. Je ne connaissais rien à ce groupe au nom obscur et qui pourtant se chuchotait sur toutes les lèvres autour de moi : Thee Silver Mount Zion, un groupe mythique, voire mystique, de Montréal, il fallait bien que ça se joue à la Fédération Ukrainienne pour clôturer sa tournée. C’est donc sous une chaleur digne d’un des meilleurs saunas en ville que nous nous sommes retrouvés pour écouter, que dis-je, communier et s’élever autour de TSMZO. Un moment unique, une extension du temps, des liquides tièdes et un son extravagant ! Ok, j’instaure un nouveau concept : rater immanquablement la première partie des Mini-M au Café Campus (tous les premiers jeudis du mois et c’est gratuit et la bière est à 2$, méchant mélange et c’est M pour Montréal qui organise) – Stop, interlude publicitaire fini. Hier soir on avait au programme en fût et fonds de bouteilles Vicious Delicious (dont je ne vous parlerai si vous avez bien suivi mon intro, juste dire que j’adore leur nom), Alex Nevsky (rebaptisé Alex Sexy pour l’occasion) et enfin (et surtout) Random Recipe, Random Recipe, Random Recipe, Random Recipe, Random Recipe !!!!!!!!
Ok, j’instaure un nouveau concept : rater immanquablement la première partie des Mini-M au Café Campus (tous les premiers jeudis du mois et c’est gratuit et la bière est à 2$, méchant mélange et c’est M pour Montréal qui organise) – Stop, interlude publicitaire fini. Hier soir on avait au programme en fût et fonds de bouteilles Vicious Delicious (dont je ne vous parlerai si vous avez bien suivi mon intro, juste dire que j’adore leur nom), Alex Nevsky (rebaptisé Alex Sexy pour l’occasion) et enfin (et surtout) Random Recipe, Random Recipe, Random Recipe, Random Recipe, Random Recipe !!!!!!!!Bille, ça roule et du meurt, ça coule...
- On a un nouveau système de son dans la salon depuis quelques semaines, je l'aime, mais je regrette l'ancien ampli tellement vintage.
- Concerts à Montréal, je vous aime aussi, mais parfois, tu fous le boxon en mettant plein de bons shows le même soir, même Olivier Lalande ne sait plus où donner de la tête.
- Il a plu hier, c'est plate et en même temps mes fraisiers étaient bien contents de s'offrir une petite beuverie.
- Mes cours d'anglais : génial ! Mon accent français quand je parle anglais : à faire changer de trottoir un hyspter du Mile-End, même si mon coloc trouve ça cute.
 Encore une découverte aujourd’hui, et cette fois-ci dans le Mile-End, le quartier que n’importe quelle personne devrait connaître pour être un « wanabee hypster ». Et dans le Mile-end, il y en a des lieux sympathiques, comme le Café Dépanneur. Sur la rue Bernard ouest, sous les yeux des passants avec ses larges vitrines, ce petit café a l’art du dépareillé. Tellement bon de se sentir comme à la maison dans un lieu public : des tables et des chaises aussi différentes que variées, un piano qui trône en maître dans un coin, un comptoir avec de charmantes demoiselles qui proposent une cuisine simple et de bons thés glacés maison.
Encore une découverte aujourd’hui, et cette fois-ci dans le Mile-End, le quartier que n’importe quelle personne devrait connaître pour être un « wanabee hypster ». Et dans le Mile-end, il y en a des lieux sympathiques, comme le Café Dépanneur. Sur la rue Bernard ouest, sous les yeux des passants avec ses larges vitrines, ce petit café a l’art du dépareillé. Tellement bon de se sentir comme à la maison dans un lieu public : des tables et des chaises aussi différentes que variées, un piano qui trône en maître dans un coin, un comptoir avec de charmantes demoiselles qui proposent une cuisine simple et de bons thés glacés maison. Hier soir, soirée (inter)disciplinaire au MAI (Montréal, Arts Interculturels). Je n’avais jamais mis les pieds au MAI et je l’avoue je connaissais encore moins son existence. Bouh, après 18 mois de vie ici, c’est pas fort… En même temps ça me conforte dans l’idée que Montréal a toujours à me faire découvrir de sa culture et de sa scène locale artistique. Le thème de la soirée : Hi tech, lo tech ; no tech, avec comme seul mot d’ordre l’éclectisme. Et je peux vous dire qu’il y en a eu de l’éclectisme : de la danse, de la vidéo, du chant, du slam, de l’électro, des arts visuels… un beau mélange, tout ça défilant toutes les 10 minutes sur une scène de quelques mètres carrés.
Hier soir, soirée (inter)disciplinaire au MAI (Montréal, Arts Interculturels). Je n’avais jamais mis les pieds au MAI et je l’avoue je connaissais encore moins son existence. Bouh, après 18 mois de vie ici, c’est pas fort… En même temps ça me conforte dans l’idée que Montréal a toujours à me faire découvrir de sa culture et de sa scène locale artistique. Le thème de la soirée : Hi tech, lo tech ; no tech, avec comme seul mot d’ordre l’éclectisme. Et je peux vous dire qu’il y en a eu de l’éclectisme : de la danse, de la vidéo, du chant, du slam, de l’électro, des arts visuels… un beau mélange, tout ça défilant toutes les 10 minutes sur une scène de quelques mètres carrés. Hier soir, c’était la folie au Métropolis : transformé en quasi piste de danse, avec une énorme boule à facettes en plein milieu du plafond, on entendait craquer le sol et vibrer les murs. James Murphy, avec une décontraction et une simplicité étonnante, nous a donné du beau, du très beau son et quelques arrêts cardiaques et frissons en tout genre. Qui c’est qui a pilé toute la soirée comme une petite folle ?
 Hier soir, c’était la folie au Métropolis : transformé en quasi piste de danse, avec une énorme boule à facettes en plein milieu du plafond, on entendait craquer le sol et vibrer les murs. James Murphy, avec une décontraction et une simplicité étonnante, nous a donné du beau, du très beau son et quelques arrêts cardiaques et frissons en tout genre. Qui c’est qui a pilé toute la soirée comme une petite folle ? Aujourd'hui, c'est l'arrêt de la pluie, alors pour l'occasion, je vous ai sorti LA photo qui va bien d'un robinet qui ne coule pas !
Aujourd'hui, c'est l'arrêt de la pluie, alors pour l'occasion, je vous ai sorti LA photo qui va bien d'un robinet qui ne coule pas ! Mes bubbles ont une petite tendance à devenir une succession de chroniques musicales. C’est bien, la musique étant l’une de mes premières sources d’inspiration. Mais, pour faire une rupture de tonalité, je me lance dans l’aventure : court, net, précis, des billets d’humeur sans mes éternelles phrases alambiquées, pleine de métaphores sauvages que seul mon obscure inconscient comprend. Du concret, je vous le dis !
Mes bubbles ont une petite tendance à devenir une succession de chroniques musicales. C’est bien, la musique étant l’une de mes premières sources d’inspiration. Mais, pour faire une rupture de tonalité, je me lance dans l’aventure : court, net, précis, des billets d’humeur sans mes éternelles phrases alambiquées, pleine de métaphores sauvages que seul mon obscure inconscient comprend. Du concret, je vous le dis ! Mini M c’est quoi ? Un training pour les oreilles en vue de leur adaptation à la prochaine programmation musicale de M pour Montréal, LE festival de l’automne d’ici. C’est l’occasion de venir écouter tous les premiers jeudis de chaque mois, trois groupes gratuitement et avec des bières à 2$...méchant mélange ! Mais le concept qui m’épate derrière tout ça, c’est l’exportation de nos bons groupes : après Austin au Texas, direction Brighton en Angleterre. Moi qui vous répète que Montréal est une scène musicale inspirante et stimulante, M pour Montréal et sa déclinaison en Mini M en est l'exemple.
Mini M c’est quoi ? Un training pour les oreilles en vue de leur adaptation à la prochaine programmation musicale de M pour Montréal, LE festival de l’automne d’ici. C’est l’occasion de venir écouter tous les premiers jeudis de chaque mois, trois groupes gratuitement et avec des bières à 2$...méchant mélange ! Mais le concept qui m’épate derrière tout ça, c’est l’exportation de nos bons groupes : après Austin au Texas, direction Brighton en Angleterre. Moi qui vous répète que Montréal est une scène musicale inspirante et stimulante, M pour Montréal et sa déclinaison en Mini M en est l'exemple. C’était lundi soir la finale des Francouvertes au Club Soda. Les trois finalistes sur les rangs étaient Monogrenade, Alex Nevsky et enfin Bernard Adamus. C’est ce dernier qui, sans surprise et avec mérite pour la qualité de sa musique, a remporté le concours. Moultes prix et récompenses ont été gagnés par les trois finalistes. Vous trouverez tous ces détails sur le site des Francouvertes http://www.francouvertes.com/ (mm, je viens de faire mon intro la plus palpitante de toute l’histoire des bulles !). Lisez la suite, vous allez sauter sur place !
C’était lundi soir la finale des Francouvertes au Club Soda. Les trois finalistes sur les rangs étaient Monogrenade, Alex Nevsky et enfin Bernard Adamus. C’est ce dernier qui, sans surprise et avec mérite pour la qualité de sa musique, a remporté le concours. Moultes prix et récompenses ont été gagnés par les trois finalistes. Vous trouverez tous ces détails sur le site des Francouvertes http://www.francouvertes.com/ (mm, je viens de faire mon intro la plus palpitante de toute l’histoire des bulles !). Lisez la suite, vous allez sauter sur place !
 Vous allez dire que je radote un peu pour vous parler encore de Chinatown... C'est que quelque part, j'ai des actions dans le groupe, sous forme de chansons "anti-dépresseurs" pour le Printemps encore frais et timide en soleil. Echange de bons procédés entre tounes du bonheur et quelques mots perdus sur un blog. Les deux s'évaporent, mais peuvent laisser de bonnes traces !
Vous allez dire que je radote un peu pour vous parler encore de Chinatown... C'est que quelque part, j'ai des actions dans le groupe, sous forme de chansons "anti-dépresseurs" pour le Printemps encore frais et timide en soleil. Echange de bons procédés entre tounes du bonheur et quelques mots perdus sur un blog. Les deux s'évaporent, mais peuvent laisser de bonnes traces ! Le Divan Orange est comme une boite de pandore : « celle qui fait sortir les présents des profondeurs ». Rarement j’ai été déçue d’avoir foulé le sol de la boite orange. Hier soir, on avait droit à un 5 à 7 assez hétéroclite : deux vidéos, dont une session cubaine de Philémon Chante et un show Jullian, un français à Montréal. Si vous saviez comme c’est commun, surtout près du Plateau, il semblerait qu’on colonise des espaces pour se recréer se que parfois on déteste loin de chez nous. Un français qui fait de la musique à Montréal, ça reste rare, mais ça se trouve, souvent derrière une basse ou encore caché derrière une immense batterie. Mais un français chanteur/guitariste, là, on atteint un fait exceptionnel qu’il faut bien souligner.
Le Divan Orange est comme une boite de pandore : « celle qui fait sortir les présents des profondeurs ». Rarement j’ai été déçue d’avoir foulé le sol de la boite orange. Hier soir, on avait droit à un 5 à 7 assez hétéroclite : deux vidéos, dont une session cubaine de Philémon Chante et un show Jullian, un français à Montréal. Si vous saviez comme c’est commun, surtout près du Plateau, il semblerait qu’on colonise des espaces pour se recréer se que parfois on déteste loin de chez nous. Un français qui fait de la musique à Montréal, ça reste rare, mais ça se trouve, souvent derrière une basse ou encore caché derrière une immense batterie. Mais un français chanteur/guitariste, là, on atteint un fait exceptionnel qu’il faut bien souligner. La prononciation, c’est quelque chose de parfois difficile. Des noms qui sortent de territoires inconnus, qui grattent un peu l’oreille, qu’on a du mal à retenir. C’est cet effet que ça m’a fait la première fois que j’ai entendu prononcer le nom Klô Pelgag. Mon oreille n’était pas habituée. En l’espace d’une petite heure de bonheur j’ai su que je le retiendrais à jamais, comme le nom d’un auteur qu’on a découvert avant les autres et qu’on s’empresse de propager, et s’estimant privilégié d’avoir été là à ses prémices.
La prononciation, c’est quelque chose de parfois difficile. Des noms qui sortent de territoires inconnus, qui grattent un peu l’oreille, qu’on a du mal à retenir. C’est cet effet que ça m’a fait la première fois que j’ai entendu prononcer le nom Klô Pelgag. Mon oreille n’était pas habituée. En l’espace d’une petite heure de bonheur j’ai su que je le retiendrais à jamais, comme le nom d’un auteur qu’on a découvert avant les autres et qu’on s’empresse de propager, et s’estimant privilégié d’avoir été là à ses prémices.  Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais il y a eu comme un léger rafraichissement dans les bubbles. Un petit côté printanier abîmal au dessus de la tête… Et bien cette jolie « head » on la doit à Lucie Leroux, designeuse, graphiste, textileuse, celle qu’on appelle la petite fée du coup de crayon, la visionnaire des démons oniriques, la lumière évanescente dans un jardin rempli de bruine.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais il y a eu comme un léger rafraichissement dans les bubbles. Un petit côté printanier abîmal au dessus de la tête… Et bien cette jolie « head » on la doit à Lucie Leroux, designeuse, graphiste, textileuse, celle qu’on appelle la petite fée du coup de crayon, la visionnaire des démons oniriques, la lumière évanescente dans un jardin rempli de bruine.