C’est le genre de groupe qu’il faut voir au moins une fois dans sa vie en live : une expérience unique, intense voire spirituelle ! Other Lives groupe de Stillwater, Oklahoma sont des hommes orchestres incroyables et arrivant à loger une quantité de stock impressionnante dans leur petite remorque. Mené par le chevelu Jesse Tabish, voilà maintenant une dizaine d’années qu’ils sont en action, le tout allant crescendo, comme l’intensité de leur musique.
21 mai 2015
Tame Impala au Métropolis
Revoir le Métropolis, son immensité, son acoustique parfois douteuse, ses publicités mensongères (non, vous n’aurez aucune chance de voir Étienne Daho le 19 juin car le concert a bien été annulé), sa foule loquasse. Il y avait longtemps que je ne m’étais pas fait un bon gros show. Quand celui-ci est complet deux soirs de suite grâce à la magie australienne de Tame Impala, ça vaut vraiment le détour. Psychédélisme et délires planant, toutes oreilles ouvertes et yeux écarquillés.
15 mai 2015
Lancement de Peoplewatching de Socalled
Josh Dolgin, le bien nommé Socalled est le genre d’excentricité musicale qu’on prendrait volontiers tous les matins au petit-déjeuner. Avec ce cinquième album Peoplewatching il continue de nous faire voyager dans de multiples couches de styles musicaux, que l’on pourra estampiller facilement dans la catégorie choyée des « inclassables », celle des génies qui n’ont pas peur de naviguer dans des voies non conventionnelles et de proposer sans concession aucune leur création.
14 mai 2015
Cobain : Montage of the Heck
Lorsque l’annonce a été faire qu’un documentaire sur Kurt Cobain allait être présenté sur HBO, produit entre autre par sa fille Frances Bean Cobain et réalisé par Brett Morgen, c’est comme si les années 90 étaient venues me picoter par derrière la nuque, et que mes souvenirs d’adolescentes criant du Nirvana au fond de ma chambre étaient venus me pourchasser : visiblement, je n’en avais pas encore fini avec Kurt !
7 mai 2015
Lancement de l’album de Felix Dyotte
C’est au Bar sans nom que Felix Dyotte a choisi de lancer son album qui porte le sien. Dans la chaleur de cette fin d’après-midi, le tuxedo des serveurs et l’atmosphère orientale chic du lieu semble convenir parfaitement à l’ambiance de l’album : une pop soignée qu’on pourrait croire sortie tout droit de France, version Étienne Daho déjanté ou Gainsbourg stylé. Mais, trêve de comparaison, l’assaisonnement Felix Dyotte à toute sa saveur pour qu’on le trouve parfaitement de son goût
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