22 févr. 2011

Godin, le film


Si j’étais critique de cinéma, je lui distribuerais 5 étoiles et j’écrirais quelque chose dans ce goût là : En salle le 18 mars prochain, au Cinéma Beaubien, le documentaire passionnant du réalisateur Simon Beaulieu  suit la vie d’un homme, le député-poète Gérald Godin, à travers un Québec en perpétuel questionnement. Composé pour la plupart d’images d’archives, on entre dans la vie de Gérald et ses combats : la politique, la poésie, l’amour et la maladie. Je ne suis pas critique de cinéma (et heureusement !). Voici pourquoi il faut aller voir Godin, le film.



20 févr. 2011

Francouvertes, 21 février : l’absence

Si vous avez lu mon article précédent, vous savez que le 21 février, je ne serais pas au Lion d’Or. Je serais dans une salle obscure face à un pan de l’histoire québécoise au travers des yeux d’un grand homme (Godin, le film). Par soucis d’exhaustivité, je me suis penchée, avec une oreille bienveillante, sur les myspaces des trois groupes proposés ce lundi aux Francouvertes : Mordicus, Le kid et les Marinellis et Il danse avec les genoux. Je vous l’accorde, ça n’est jamais facile de trouver son nom de groupe….

16 févr. 2011

Francouvertes, 14 février : next

Pourquoi le rappeler : le 14 février, c’est le jour des petits cœurs tout rouges, roses ou dorés, des chocolats, des fleurs et des paillettes. C’est donc en charmante compagnie que je suis allée au Lion d’or, le cœur léger, en sifflotant dans le vent et en pataugeant dans la slush montréalaise. Oui, j’avais un peu peur, car l’écoute des myspaces des trois groupes proposés ce soir là, ne m’avait pas (du tout) convaincu que j’avais raison de vouloir passer cette soirée avec eux. Mais voilà, le cœur a ses raisons…

8 févr. 2011

Francouvertes, 7 février : la corde

On a eu droit à une soirée "je tape"... des pieds, des mains, des verres, ton voisin (non quand même pas). Je ne sais pas si c'est vraiment le hasard d'un tirage au sort qui a voulu réunir ces trois groupes (Isabeau et les chercheur d'or, Tracteur Jack, Canailles) mais quand même trois contrebasses en une soirée, c'est louche. Un mot pour cette soirée : corde comme corde à sauter, corde au cou, corde d'un navire, être sur la corde raide. Y'avait un peu de tout ça sur la scène du Lion d'or, entre pintes de bière et câbles noirs.

2 févr. 2011

Le patin : Histoire vraie, dialogue de sourd et réponse de muette !

- Pourquoi tu veux pas patiner ? Tu devrais au moins essayer !
- J’aime pas patiner, j’ai peur de tomber, j’ai mon petit bout de coccyx qui gratte l’hiver, j’ai la peau qui marque tellement qu’en une saison mes bleus seront passés par toutes les couleurs et j’aurais l’air d’une girafe, je fais des cauchemars de doigts coupés, sang sur blanc. C’est comme manger du gingembre avec des sushis, j’aime pas.
- Ben là, t’es peureuse, tu peux pas ne pas aimer, c’est tellement le fun, en plus, si tu fais ça en gang, c’est encore plus sympa.
- Sauf qu’à chaque fois que tu fais du patin avec tes amis, moi je fais d’autres choses, comme écrire une histoire sur le fait que j’aime pas le patin.
- ???? (yeux interrogateurs, incompréhension de mon interlocuteur). Ben c'est ça, va donc l'écrire dans tes bubbles, de toute façon tu pourras jamais ressembler à une girafe, t'as des trop cute oreilles.
Morale de l'histoire : mes oreilles m'ont sauvée.