31 août 2010

Piano et prochaine programmation

Cette fin de semaine, c'était le grand marathon birthday Stephen show ! Quatre jours intenses pour célébrer les 30 ans de mon ami Stephen. Finalement, j'en ai appris beaucoup de ces jours-ci et que des trucs en "ie" : géométrie, alcoolémie, énergie, Arcade Firerie, niaiserie, féérie, animalerie (?)...

20 août 2010

Klô Pelgag monte les marches

Il fallait gravir quelques marches pour atteindre le plafond des anges. Ça valait le coup de monter cet escalier et de le redescendre, quelques heures après avec un OVNI à 10$ dans les mains. Chic, chic, un Oracle Vampirisant Non Imaginé ! C’est parce qu’il y a de la poésie et un humour spontané dans beaucoup de ses mots, que Klô est inspirante et inspirée. Un concert atypique, où sa voix feistesque nous a porté loin, très loin dans le dehors de la fumée de Montréal : comme on respire en région et j’aime ce vent là.

10 août 2010

Interpol au Métropolis

Hier soir, j'ai repris la route des concerts, après un sevrage intensif et douloureux d'une semaine. Osheaga était passé par là, il fallait bien ça pour s'en remettre... Direction le Métropolis pour aller écouter un petit groupe New-Yorkais qui s'enligne pour faire la première partie de U2 : j'ai nommé les beautiful people d'Interpol.
Et spécialement aujourd'hui pour lire ce qui se passe de frais dans la boite à bubbles, il faut aller ici ! L'occasion de rappeler qu'il y a un webzine qui n'est pas du tout ce qu'il veut qu'il est : Nomag (vous me suivez). Petite contribution spontanée et accidentelle : j'ai du jouer des coudes, assommer quelques groupies et faire de l'oeil à la sécurité pour pouvoir obtenir quelques clichés bruineux. Bonne lecture ici (j'ai dit).

2 août 2010

Osheaga

Osheaga, et ces quelques 53 000 festivaliers venus brasser la terre grise du l'île du Parc Jean Drapeau ! Deux jours de pure folie musicale à peu près pour tous les goûts. Mes oreilles ont été mal menées, écartelées en tout sens et tout son et mon cerveau en garde des mélodies imprimées dans un coin de mes neurones qui ressortent encore comme des éclairs de bonheur de temps à autre. Ondes électrochoques, quand le courant passe, c'est du haut voltage qui se brise dans ma tête.