A Montréal, on a notre nuit blanche (en fait pour beaucoup de Montréalais, les nuits de fins de semaines sont des nuits blanches). Et comme on aime l’hiver, on fait ça fin février, pour braver la slush, sortir ses plus beaux bonnets et gants assortis et profiter de la STM toute la nuit.
Soir de pleine lune, nuit tiède pour la saison, finalement autant de monde que les autres soirs : les noctambules sont des spécimens très répandus ici. La nuit blanche, c’est l’occasion de faire son rattrapage culturel à moindre frais, les journées étant trop courtes et passant à vive allure, c’est bien plus le fun de faire les musées la nuit… ou pas, surtout quand tu te retrouves au MAC (Musée Art Contemporain), en line-up pour espérer apercevoir une œuvre abstraite indéfinissable mais quand même définie par un court texte que seul l’auteur (et encore) des quelques lignes d’explication peut comprendre. Bienvenue dans l’univers de l’art contemporain et ses mystères.
Soir de pleine lune, nuit tiède pour la saison, finalement autant de monde que les autres soirs : les noctambules sont des spécimens très répandus ici. La nuit blanche, c’est l’occasion de faire son rattrapage culturel à moindre frais, les journées étant trop courtes et passant à vive allure, c’est bien plus le fun de faire les musées la nuit… ou pas, surtout quand tu te retrouves au MAC (Musée Art Contemporain), en line-up pour espérer apercevoir une œuvre abstraite indéfinissable mais quand même définie par un court texte que seul l’auteur (et encore) des quelques lignes d’explication peut comprendre. Bienvenue dans l’univers de l’art contemporain et ses mystères.