6 déc. 2011

Bon Iver au Métropolis

J’ai parfois de la difficulté à trouver mes mots, ce qui peut s’avérer très compliqué quand on écrit. C’est comme de demander à un muet de crier ou à un aveugle de décrire ce qu’il voit. Et pourtant dans ces deux derniers cas, c’est tout de même possible. Le muet émettra un son et l’aveugle imaginera une scène. Tout ça pour dire que je vais arriver au bout de cette chronique, même si les mots me manquent pour décrire l’expérience vécue hier soir. Justine Vernon va me faire passer un bon hiver.