10 juin 2013

Les bulles prennent des vacances

Chaque année on a besoin d’une grosse bulle d’air. C’est ce qui remet les compteurs à zéro de toutes les musiques qu’on a pu écouter tout au long de l’année. Et puis les vacances sont souvent l’occasion de se replonger dans des vieux classiques de son adolescence au cœur des années 90 (ah grunge quand tu nous tiens) ou d’écouter de la pop en toute décontraction en se disant que les trucs sucrés, c’est l’idéal au bord de l’eau entre le polar et le martini. Vous allez donc devoir vous débrouiller tout seul dans la cohue des festivals qui s’en viennent, et honnêtement, je n’aimerais pas être à votre place tant le choix est large en ce mois de juin rien qu’à Montréal. C’est comme de regarder le compteur d’heures de son Ipod et se dire qu’on n’aura pas assez d’une vie pour tout écouter. Bye, bye écouteurs, bonjour silence, je vais revenir aussi détendue qu’un cappuccino décaféine pas de crème.

7 juin 2013

Paradis et Pelgag au Divan Orange

Dans le cadre de l’excellent Festival (insérer ici le commanditaire) Fringe de Montréal, un petit squat a lieu au Divan Orange. Petit mais solide. Sur l’initiative d’Indie Montréal, vous trouverez tout au long du mois de juin une programmation éclectique capable de répondre à (presque) toutes vos attentes. Pour inaugurer cette série de concerts, c’est Benoit Paradis Trio et Klô Pelgag qui ouvraient le bal. Tout le monde est donc entré dans la danse sans se faire prier. Oh sainte joie ! 

3 juin 2013

David Martel : EP Versus Us

Vendredi soir avait lieu le lancement du nouveau EP de David Martel, Versus Us, au studio Breakglass, lieu où se dernier a été enregistré sous la houlette de Jace Lasek. Je n’étais malheureusement pas présente ce soir là, mais je me suis empressée d’acheter les quatre titres et d’enfiler ça dans mon Ipod. Et c’est globalement la seule musique qui tourne dans mes oreilles depuis ce jour. Je me demande quel sera mon taux de saturation, mais j’ai l’impression d’en être très loin. Mais surtout, je sens la frustration monter : quatre titres c’est bien trop peu.