Oui, j’étais là aussi, comme les 75 000 personnes rassemblées en troupeaux joyeux et éthyliques, en ce jeudi 22 septembre, qui restera gravé dans les mémoires autant que sur le gobelet d’eau à l’effigie de ce que l’on peut appeler maintenant un « grand groupe ». Parce qu’un « grand groupe », c’est quand tu n’arrives même pas voir ses membres en tout petit, là-bas, au bout, et que finalement tu te contentes de l’écran géant mal synchronisé. Arcade Fire a proposé un concert dense/danse, de la générosité (on a même eu droit à un sourire semi-décontracté de Win Butler), des paillettes, un auteur haïtien en cravate, une orgie musicale et des ballounes multicolores qui clignotent.
23 sept. 2011
19 sept. 2011
Le café Lézard : tu chantes quoi ?
On oublie parfois d’aller plus loin que le bout de son quartier ! Je ne vais pas souvent sur la promenade Masson, ce que je regrette car j’ai de bons amis dans ce coin là. Addict des transports en commun et de la marche à pieds, même s’il faut un peu jongler avec les horaires de bus, de Jean Talon, ça n’est pas si loin. Puis on y trouve des petits cafés sympas, comme le Café Lézard, qui agrémenté d’un vieux piano, offre son devant de scène à de jeunes artistes musiciens en devenir, en construction, en marche, en (des)illusions, enthousiastes, qui peuvent ainsi proposer leurs compositions à un public un peu plus large que leur cercle habituel.
18 sept. 2011
La femme aux cinq éléphants

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