Ils ne le savent pas encore mais les Mad’MoiZéle Giraf m’ont permis d’inventer et diffuser une expression qui devrait bientôt passer les frontières de mon entourage Montréalais (Laval, si tu m’écoutes). On peut dire d’eux qu’ils font une musique qui pile. Piler, c’est quand vos deux pieds commencent à s’agiter tout seul, indépendamment de votre corps pour jumper bien haut.
Aucun contrôle possible, leur musique a l’effet d’une drogue (douce) qui vous fait sourire bêtement comme si vous nagiez dans un océan de bonheur… et au loin, une girafe passe.
Et pourtant, les textes de Mad’MoiZéle Giraf ne sont pas si légers qu’ils y paraissent, même s’ils sont emprunt de fraîcheur et d’enthousiasme, on y découvre une certaine réalité du quotidien dure, drôle, touchante et même engageante.
Terminant deuxième de la finale des Francouvertes, nos deux lascars ont fait un bon bout de chemin, enfermés dans la noirceur d’un studio pour enfin entrevoir la lumière (on comprend mieux leur identité visuelle en noir et jaune !). Et quelle lumière…
Vous sentez comme une odeur de garrigue, l’ombre d’un olivier, un soleil doré, un bon verre de pastaga et le bruit des cigales. Et non, on n’est pas à Marseille, mais bien à Montréal. Et croyez-moi, rien à envier à l’accent.
Peindre la girafe est composé de treize pièces à savourer avec succulence. Bien qu’il y ait une unité et un style MMZG, on appréciera chacune des tounes pour leur univers personnel, leur comptine et leur beat musical. Les deux gars de MMZG sont bien entourés, par des musiciens aux longs cou(p)s et des featuring tachetés. Ma petite préférée en tant qu’exilé française en terre québécoise est Montréal Stylé : « Montréal c’est ma ville, ce n’est pas mon bled natal, plutôt ma terre d’accueil, un îlot bien original »… pas mieux !
Aucun contrôle possible, leur musique a l’effet d’une drogue (douce) qui vous fait sourire bêtement comme si vous nagiez dans un océan de bonheur… et au loin, une girafe passe.
Et pourtant, les textes de Mad’MoiZéle Giraf ne sont pas si légers qu’ils y paraissent, même s’ils sont emprunt de fraîcheur et d’enthousiasme, on y découvre une certaine réalité du quotidien dure, drôle, touchante et même engageante.
Terminant deuxième de la finale des Francouvertes, nos deux lascars ont fait un bon bout de chemin, enfermés dans la noirceur d’un studio pour enfin entrevoir la lumière (on comprend mieux leur identité visuelle en noir et jaune !). Et quelle lumière…
Vous sentez comme une odeur de garrigue, l’ombre d’un olivier, un soleil doré, un bon verre de pastaga et le bruit des cigales. Et non, on n’est pas à Marseille, mais bien à Montréal. Et croyez-moi, rien à envier à l’accent.
Peindre la girafe est composé de treize pièces à savourer avec succulence. Bien qu’il y ait une unité et un style MMZG, on appréciera chacune des tounes pour leur univers personnel, leur comptine et leur beat musical. Les deux gars de MMZG sont bien entourés, par des musiciens aux longs cou(p)s et des featuring tachetés. Ma petite préférée en tant qu’exilé française en terre québécoise est Montréal Stylé : « Montréal c’est ma ville, ce n’est pas mon bled natal, plutôt ma terre d’accueil, un îlot bien original »… pas mieux !