Une soirée tout en contraste au Divan Orange avec deux
groupes de la scène locale qui commencent à faire parler d’eux et une petite
échappée française aux samples et loops intéressant pour clôturer le tout. Et
pour une fois, le son passait bien, oh bonheur de ne pas avoir à mettre des
bouchons d’oreilles. On y est donc allé crescendo à l’inverse de la pluie qui a
fini par cesser cette nuit là.
Émilie & Ogden
Toujours aussi timide sur scène, la légère Émilie accompagnée de sa harpe Ogden offre des mélodies sympathiques, avec ce son si particulier de cet instrument que l’on ne voit que rarement sur scène. Affublée de trois musiciens taillés sur mesure pour emporter sa musique encore plus haut, le tout est vraiment charmant voire envoutant. On a hâte à l’album.
Toujours aussi timide sur scène, la légère Émilie accompagnée de sa harpe Ogden offre des mélodies sympathiques, avec ce son si particulier de cet instrument que l’on ne voit que rarement sur scène. Affublée de trois musiciens taillés sur mesure pour emporter sa musique encore plus haut, le tout est vraiment charmant voire envoutant. On a hâte à l’album.
Fire/Works
Le moins que l’on puisse dire c’est
que Jonathan Peters et David Lagacé savent ce que chanter en chœur signifie. À les
écouter, on ne peut s’empêcher de se voir pousser des racines bien planter au
sol : un folk assuré et assumé, façon bidouille de percussions. On prend
la barque direct, et on ne peut s’empêcher de foncer dans la même tempête. Un
bien beau moment frissonnant.
C’est avec un certain sens de l’esthétique que Marion Gaume entre sur
scène. Si l’allure est fragile, et la présence sur scène un peu maladroite, on
retiendra une inventivité créative intéressante, avec une voix magnifique. À
coup de loops et de samples, elle étoffe sa musique répétitive, pour en faire
des morceaux atypiques mais brillant aux influences variées.
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