La maison du bonheur, c’est là où je vis actuellement, le 7108 Drolet, une coloc d’exception car peuplée d’êtres exceptionnels, différents et uniques.
D’abord Elodie, celle par qui tout est arrivé : c’est grâce à elle que je suis assise ici, en train d’écrire ceci. Elodie est une belle fille, pardon une belle femme. Belle par ses yeux d’un bleu méditerranéen, région chère à son cœur. Belle par son âme, à l’écoute de tout et l’attente de rien. Belle par son indépendance, sa liberté, sa combativité, ses élans de cœur. Très peu de personnes sont aussi belles qu’Elodie, c’est réellement l’adjectif qui la qualifie le mieux.
Nous avons ensuite Stephen. S’il devait y avoir un mot pour définir Stephen, je pense que ce serait l’émotion, au sens le plus noble du terme. Cet homme est capable d’une émotion exacerbée, tout ce qui l’entoure le touche, l’intrigue. Stephen réfléchit beaucoup, il fait partie de ces êtres hyper-intelligents, qui ne cessent de se poser des questions et d’y trouver parfois mille réponses.
Enfin, nous avons Luc. C’est l’authenticité. L’art fait partie de sa vie : artiste car il danse, et artisan, car il est capable de tout avec ses mains. Vous voulez un avis raisonné, pragmatique, c’est à lui qu’il faut le demander. Tout semble intérieur chez lui, il absorbe les émotions des gens qui l’entourent et semble infaillible.
Enfin, on ne peut pas oublier Véronique, la "blonde" de Luc. Elle, c’est la générosité, la rondeur, la douceur. Si la gentillesse était une femme, ça serait Véro. Elle a le goût en elle : par la cuisine, art qu’elle pratique avec délicatesse et puissance, mais aussi le goût des autres, tous ceux qui l’entourent.
Et tout ce petit monde gravite autour de moi, quelle chanceuse je suis d’avoir pour premiers occupants de ma vie sur Montréal ces personnes là. Chacune m’apporte énormément à sa manière, car il n’est pas si facile d’arriver en territoire inconnu où mes attentes sont parfois trop grandes, mes envies parfois trop petites…
J'ai eu la chance avec Stephen de découvrir en avant-première les prémisses d'un journal pas comme les autres. Notre Yolaine marque son empreinte, une empreinte qui ne vous laissera pas indifférent. Vous allez pouvoir lire les pensées d'une femme au coeur immense... et au talent d'une artiste, une vraie, celle qui je le pense, est en pleine renaissance.
RépondreSupprimerJe sentais que la demoiselle avait besoin d'écrire, de livrer ses émotions, ce qui l'émerveille, ce qu'elle projette. Je suis bien évidemment enchantée de l'accueillir à Montréal, de partager ses premiers pas en terre québécoise.
Sans compter que je suis sincèrement émue par ses mots... des mots d'amitié, d'amour, de complicité.
La pétillante Yolaine est parmi nous et ça se sent. Elle nous réchauffe le coeur... l'âme et réhausse la chaleur de notre maison où, avouons-le, il fait plutôt "frette".
Yolaine, la petite fée de notre chez-nous pose un regard extérieur sur notre vie, et quel beau portrait. Nous lirons comment elle perçoit ce nouveau monde qu'elle désire, rêve, idéalise. Elle trouve ses marques dans une ville qui lui correspond... oui, oui, je vous le dis!
Quand on y pense, son positivisme, sa soif d'apprendre des autres sont sans limite. Vous le comprendrez au fil des mois, elle est heureuse et c'est bien là l'essentiel.
Alors bonne chance ma choupinette. Nous avons tant de choses à vivre ensemble!!!
WOW!
RépondreSupprimerQue de plaisir de faire partie de la maison du bonheur! C'est une chance de passer par là, tu as bien raison Yolaine.
Je crois qu'il y ait des moments dans la vie ou l'on a l'impression de poser un morceau de casse-tête et de voir une image prendre forme... et là, je pense que la magie dessine pour toi le portrait d'un endroit inspirant et chaleureux et ce, tout à ton honneur.
Merci pour tes mots touchants, ça réchauffe le coeur en cette période hivernale...
Je suis très heureuse de partager avec toi ton début d'aventure québécoise... À la tiene ma belle Yolaine!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimeroui je fais des fautes plus grosse que moi alors j'ai supprimer pour réécrire cela.
RépondreSupprimerdonc petit regard extérieur de cette maison du bonheur et des gens qui la composent :
On ne peut que s'y plaire à te lire !
Que dire à part que je suis heureuse pour toi que tu puisses cohabiter avec des gens d'une telle richesse et avec qui tu pourras partager beaucoup j'en suis sûr.
Je pense aussi que Montréal est fait pour toi.
Profites bien de chaque instant !
mais à voir les autres articles de ton blog... c'est ce que tu as l'air de faire et c'est bien !
Superbe Yolaine, tu as une plume dès plus poétique avec la rigueur du détail digne d'un orfèvre.
RépondreSupprimerJe connais cette maison du bonheur et ce qualificatif n'est pas usurpé. Ses occupants "les colocataires" sont exceptionnels et ont chacun leur spécificité.
Dans ce monde de folie, il est agréable de rencontrer une jeunesse saine et ambitieuse. Je vous souhaite à tous d'être heureux et d'aboutir dans vos projets les plus chers.
Je reconnais avoir apprécié particulièrement le chapitre sur Elodie, mais un père n'est jamais très objectif !!!
Je ne manquerai pas de vous amener très bientôt le soleil de la Côte d'Azur...
Jean-Claude CASTILLO