Pour ouvrir le bal des balancements intempestifs d’avant en arrière, on avait droit à l’éclaté et l’éclatant Mehdi Cayenne Club (MCC pour les intimes). C’est avec une personnalité enjouée et un brin ironique que Mehdi Hamad rythme ses chansons. Dans son blender, on trouve toute sorte de saveurs souvent électrisantes, jamais ennuyantes, qui jonglent entre le français et l’anglais et vous donnent une impression de sautiller dans tous les sens même immobile.
Puis le trublion arrive accompagné de ses solides musiciens ! Pour ceux qui ne l’auraient jamais vu en live, attachez vos tuques, car vous pouvez éventuellement vous prendre quelques crachas, désormais marque de fabrique de La pluie du dragon. Tout y passe y compris les anciennes tounes de son premier EP. Ce qui marque sans doute le plus est l’évolution de la voix de Karl au fil des shows. C’est maintenant avec une parfaite maîtrise qu’il arrive à « crier juste » et à faire du trampoline avec sa voix en passant des aigus aux graves. On touche l’apocalypse quand la version Fleur de Londres se voit allonger par un petit medley grunge ponctué entre autre d’un Pixies (Where is my mind, justement) et d’un Nirvana (Drain you, tout un programme). Celui qui a mon goût se produit trop peu souvent sur scène, devrait devenir une référence en matière de présence scénique, à jouer les méchants qu’on aime tant.
Puis le trublion arrive accompagné de ses solides musiciens ! Pour ceux qui ne l’auraient jamais vu en live, attachez vos tuques, car vous pouvez éventuellement vous prendre quelques crachas, désormais marque de fabrique de La pluie du dragon. Tout y passe y compris les anciennes tounes de son premier EP. Ce qui marque sans doute le plus est l’évolution de la voix de Karl au fil des shows. C’est maintenant avec une parfaite maîtrise qu’il arrive à « crier juste » et à faire du trampoline avec sa voix en passant des aigus aux graves. On touche l’apocalypse quand la version Fleur de Londres se voit allonger par un petit medley grunge ponctué entre autre d’un Pixies (Where is my mind, justement) et d’un Nirvana (Drain you, tout un programme). Celui qui a mon goût se produit trop peu souvent sur scène, devrait devenir une référence en matière de présence scénique, à jouer les méchants qu’on aime tant.
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