Francofolies, ça y est, c’est lancé, entre les gouttes et le gris-gris, vient enfin le soleil et mon beau rhume avec ! En l’occurrence ce samedi soir à 23h à l’Astral, on a eu droit à un ciel dégagé tout plein d’étoiles. Monogrenade, groupe électro-cordo-rock avait pris possession des lieux avec magie, mystère et bonheur. Du bonheur, on en a eu justement avec les beaux petits gars de Tracteur Jack qui ont fait swinger le public mardi soir, une proposition toujours aussi carrée et décontractée de leur musique. Oula qu’on aime ça la musique francophone !
Monogrenade
Pas bien, je n’ai pas encore acheté le dernier opus de Monogrenade, Tantale, faisant suite au gouteux La saveur des fruits. Exit le chanteur, c’est Jean-Michel Pigeon qui prend la voix et tout plein d’autres choses encore sur scène. Impressionnant, impressionnée, c’est le meilleur show de Monogrenade que j’ai vu à ce jour. Il faut dire que l’acoustique de l’Astral se prête parfaitement au quatuor, qui pour l’occasion à eu raison de voir les choses en grands et en nombre : cordes et cuivres ont habillé subtilement et avec enchantement certains des morceaux. La musique de Monogrenade est comme de la belle nostalgie mélancolique : revivre un moment oublié en faisant dans sa mémoire des loops pour qu’il devienne encore plus parfait. Il y a comme un voile, un filtre d’émotions qui nous fait frissonner, et les montées en puissance de certaines pièces trouvent tout leurs effets. Mon seul regret : que tout cela n’est duré qu’une petite heure, mais une heure ténue, dense, riche et vibrante, ce n’est pas n’importe quelle heure, surtout quand elle vous conduit à passer à un autre jour.
http://www.monogrenade.com/
Pas bien, je n’ai pas encore acheté le dernier opus de Monogrenade, Tantale, faisant suite au gouteux La saveur des fruits. Exit le chanteur, c’est Jean-Michel Pigeon qui prend la voix et tout plein d’autres choses encore sur scène. Impressionnant, impressionnée, c’est le meilleur show de Monogrenade que j’ai vu à ce jour. Il faut dire que l’acoustique de l’Astral se prête parfaitement au quatuor, qui pour l’occasion à eu raison de voir les choses en grands et en nombre : cordes et cuivres ont habillé subtilement et avec enchantement certains des morceaux. La musique de Monogrenade est comme de la belle nostalgie mélancolique : revivre un moment oublié en faisant dans sa mémoire des loops pour qu’il devienne encore plus parfait. Il y a comme un voile, un filtre d’émotions qui nous fait frissonner, et les montées en puissance de certaines pièces trouvent tout leurs effets. Mon seul regret : que tout cela n’est duré qu’une petite heure, mais une heure ténue, dense, riche et vibrante, ce n’est pas n’importe quelle heure, surtout quand elle vous conduit à passer à un autre jour.
http://www.monogrenade.com/
Tracteur Jack
Est-ce que je la pose ma question ? Mais pourquoi ils n’y sont pas allés en finale des Francouvertes ? Et là, je viens de trouver la réponse ! Je pense qu’ils n’en avaient pas vraiement besoin. Même si les nombreux prix et le rayonnement médiatique des Francouvertes apportent leur lot de bonheur, Tracteur Jack ne semblait pas « fiter » dans ce moule-là. Qu’à cela ne tienne, Western Camembert témoigne de la vivacité du groupe tant sur la rythmique, les mélodies que les paroles alambiquées loufoques dont on se délecte. Une chaleur humaine communicative, de la verve, de la décontraction sans oublier de la précision, Tracteur Jack a vraiment beaucoup d’atouts pour conquérir le cœur des québécois voire même des parisiens. C’est donc tout sourire que je suis arrivée en retard devant la Scène Lait (oui, un beau retard du à un pique-nique terrasse/foie gras/vin blanc), en me délectant des quatre dernières chansons très participatives du groupe.
www.tracteurjack2011.blogspot.com
Est-ce que je la pose ma question ? Mais pourquoi ils n’y sont pas allés en finale des Francouvertes ? Et là, je viens de trouver la réponse ! Je pense qu’ils n’en avaient pas vraiement besoin. Même si les nombreux prix et le rayonnement médiatique des Francouvertes apportent leur lot de bonheur, Tracteur Jack ne semblait pas « fiter » dans ce moule-là. Qu’à cela ne tienne, Western Camembert témoigne de la vivacité du groupe tant sur la rythmique, les mélodies que les paroles alambiquées loufoques dont on se délecte. Une chaleur humaine communicative, de la verve, de la décontraction sans oublier de la précision, Tracteur Jack a vraiment beaucoup d’atouts pour conquérir le cœur des québécois voire même des parisiens. C’est donc tout sourire que je suis arrivée en retard devant la Scène Lait (oui, un beau retard du à un pique-nique terrasse/foie gras/vin blanc), en me délectant des quatre dernières chansons très participatives du groupe.
www.tracteurjack2011.blogspot.com
Et la suite…
Parmi la masse de groupes qui passent aux Francos, je vous conseille : Mercredi 15 juin : Philémon Chante (17h), On a crée un monstre (20h et 23h) | Jeudi 16 juin : La femme (20h), Chantal Archambault (21h) Random Recipe (minuit) | Vendredi 17 juin : Chinatown et Ariel (17h), Canailles (20h et 23h), Bernard Adamus (21h) | Samedi 18 juin : le Ice-cream Party (20h30), uniquement à la maison du bonheur parce que c’est ma fête et que le piano trépigne.
Parmi la masse de groupes qui passent aux Francos, je vous conseille : Mercredi 15 juin : Philémon Chante (17h), On a crée un monstre (20h et 23h) | Jeudi 16 juin : La femme (20h), Chantal Archambault (21h) Random Recipe (minuit) | Vendredi 17 juin : Chinatown et Ariel (17h), Canailles (20h et 23h), Bernard Adamus (21h) | Samedi 18 juin : le Ice-cream Party (20h30), uniquement à la maison du bonheur parce que c’est ma fête et que le piano trépigne.
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