De passage à Montréal dans le cadre de la tournée de leur dernier album « Wolfgang Amadeus », j’ai eu l’extrême joie d’assister, non que dis-je, de participer (oui, c’était assez physique, j’ai dansé comme une petite folle tout le long du show) au concert de Phoenix. Un groupe sur estimé selon certains et sous estimé selon d’autres, mais qui en tout cas ne laisse pas indifférent par son style : une pop/rock tintée d’électro et surtout des paroles en anglais.
C’est vrai qu’il est difficile de mettre une étiquette sur ce groupe, qui semble plus connu outre Atlantique qu’en Europe. Mais finalement j’opterais pour le rock-électro dansant : d’abord rock, c’est sûr, avec une parfaite maîtrise des instruments et surtout un bon réglage de la balance : la voix du chanteur, qui paraissait épuisé, était si claire et si bien mise en avant que j’ai cru à un play-back à la première chanson. Et puis électro : un petit côté bidouilleur de clavier avec pour certaines chansons un emprunt à peine dissimulé à leurs amis d’Air. La french touch est tendance et se fait des clins d’œil musicaux, c’est ça d’être des stars françaises sur le continent américain.
Pas une seconde de répit : un show hyper calibré et puissant nous a été délivré comme une claque en pleine figure : ça fait mal mais on tend l’autre joue tellement c’est bon. On a eu droit à de bons classiques (It’s never been like that, If I ever feel better, Everithing is everithing, Run, run, run) et bien sûr la quasi-totalité des chansons du dernier album. Ce qui permet de constater qu’en concert, il existe une belle cohérence entre les anciennes chansons, poussées du côté rock et les dernières mises en boite. A noté, un éclairage de folie : le show lumière est presque aussi impressionnant que le beat du batteur : rapide et brillant !
La présence scénique est discrète mais bien là : Thomas Mars, le charismatique chanteur nous envoie des petits mercis, mais vous ne trouverez pas ici de discours ou de blagues au public : on est français et un peu prétentieux, il ne faut pas l’oublier. On sent une belle osmose entre les musiciens du groupe, pas un fake band qui aurait fait un album de trop pour ramasser quelques dollars de plus, mais plutôt un réel plaisir à s’éclater sur scène ensemble.
Un court rappel (deux chansons !) et la Tulipe s’est transformée en un véritable dance-floor electrisé. On ressort les oreilles pas tout à fait intactes et les genoux tremblant, mais on adoooorrrre !
C’est vrai qu’il est difficile de mettre une étiquette sur ce groupe, qui semble plus connu outre Atlantique qu’en Europe. Mais finalement j’opterais pour le rock-électro dansant : d’abord rock, c’est sûr, avec une parfaite maîtrise des instruments et surtout un bon réglage de la balance : la voix du chanteur, qui paraissait épuisé, était si claire et si bien mise en avant que j’ai cru à un play-back à la première chanson. Et puis électro : un petit côté bidouilleur de clavier avec pour certaines chansons un emprunt à peine dissimulé à leurs amis d’Air. La french touch est tendance et se fait des clins d’œil musicaux, c’est ça d’être des stars françaises sur le continent américain.
Pas une seconde de répit : un show hyper calibré et puissant nous a été délivré comme une claque en pleine figure : ça fait mal mais on tend l’autre joue tellement c’est bon. On a eu droit à de bons classiques (It’s never been like that, If I ever feel better, Everithing is everithing, Run, run, run) et bien sûr la quasi-totalité des chansons du dernier album. Ce qui permet de constater qu’en concert, il existe une belle cohérence entre les anciennes chansons, poussées du côté rock et les dernières mises en boite. A noté, un éclairage de folie : le show lumière est presque aussi impressionnant que le beat du batteur : rapide et brillant !
La présence scénique est discrète mais bien là : Thomas Mars, le charismatique chanteur nous envoie des petits mercis, mais vous ne trouverez pas ici de discours ou de blagues au public : on est français et un peu prétentieux, il ne faut pas l’oublier. On sent une belle osmose entre les musiciens du groupe, pas un fake band qui aurait fait un album de trop pour ramasser quelques dollars de plus, mais plutôt un réel plaisir à s’éclater sur scène ensemble.
Un court rappel (deux chansons !) et la Tulipe s’est transformée en un véritable dance-floor electrisé. On ressort les oreilles pas tout à fait intactes et les genoux tremblant, mais on adoooorrrre !
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